Leguideinfo.net : le réchauffement climatique est défini comme l’un des pires défis du siècle par les spécialistes. À cause des agissements de l’homme, la nature opère des changements périlleux menaçant ainsi la planète entière. Du 24 au 25 août 2024, la vice-présidente de la commission de la CEDEAO a pris part à la réunion ministérielle 2024 de la conférence Internationale de Tokiyo sur le Développement de l’Afrique (TICAD) qui s’est tenue à Tokyo. Lors de cette réunion préparatoire de la TICAD IX, prévue en août 2025 à Yokohama, des grandes réflexions sont faites pour accélérer les efforts de la lutte contre l’insécurité alimentaire et le réchauffement climatique.
« Au nom du Président de la Commission, S.E. Omar Alieu TOURAY, la Vice-Présidente de la Commission de la CEDEAO a participé à la Réunion Ministérielle 2024 de la Conférence Internationale de Tokyo sur le Développement Africain (TICAD) qui s’est tenue à Tokyo les 24 et 25 août 2024. La rencontre qui est une réunion préparatoire de la TICAD IX qui se tiendra en août 2025 à Yokohama, au Japon, s’engage à accélérer les efforts pour assurer la sécurité alimentaire tout en soulignant l’importance de la résilience contre le changement climatique et les ressources naturelles, ainsi que l’amélioration de la productivité agricole. La réunion a permis de définir un plan de promotion de la digitalisation et de souligner l’importance d’une utilisation efficace et responsable de la technologie numérique et de l’intelligence artificielle, ainsi que l’importance de la collaboration avec le secteur privé dans la résolution des problèmes sociaux », peut-on lire sur le compte-rendu de la réunion publié la team com de la CEDEAO.
La vice-présidente S.E. Damtien TCHINTCHIBIDJA et sa suite ont eu une séance de travail avec S.E. TSUJI Kiyoto, Ministre d’État aux affaires étrangères du Japon toujours selon le communiqué.
« La vice-présidente, tout en informant le ministre d’État sur les derniers développements dans la région de la CEDEAO, a souligné les domaines prioritaires de la CEDEAO, tels que l’infrastructure, l’agriculture, la numérisation, les énergies renouvelables, le commerce, l’investissement et le renforcement des capacités des jeunes et des femmes, ainsi que la paix et la sécurité, qui ont besoin du soutien de ses partenaires stratégiques, y compris le Japon ».
Mamoudou Boulléré Diallo