Leguide.info : dans un style accessible, la jeune Fatoumata Bella Diallo, flingue l’occident, telle une jeune guinéenne dans la peau d’une certaine #NatalieYamb à travers le slam. Elle était pourtant en compétition et le sujet portait sur la sensibilisation contre l’excision. Elle prend le risque d’aborder le débat dans l’autre sens.
L’éloquence et le style d’actrice sont là, mais ça n’a pas suffi pour convaincre le jury. Elle est classée troisième, elle n’a pas pu se maîtriser, elle va fondre en larmes. Pas étonnant parce qu’on paravent elle avait raflé le prix de la meilleure slameuse de la préfecture. La patronne de l’ONG F2DHG en personne est descendue pour la consoler. «Tu n’as pas démériter, tu connais ce qu’on appelle fair play ? Ne pleure pas», dira Moussa Yéro Bah.
